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Accueil / Analyse financière / Le besoin en fonds de roulement (BFR)

Le besoin en fonds de roulement (BFR)

Màj le 25 février 2019 | Catégorie : Analyse financière

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Le besoin en fonds de roulement (BFR) correspond à l’immobilisation d’unités monétaires nécessaires pour assurer le fonctionnement courant de l’entreprise. Cette dernière doit financer certains emplois ; à l’inverse elle profite de certaines ressources. Le cœur du BFR est le besoin de financement d’exploitation.

Il existe cependant des besoins de financement annexes dont la logique ne relève pas du cycle d’exploitation au sens strict.

Le besoin en fonds de roulement

Ces besoins annexes constituent le besoin de financement hors exploitation (BFHE). À un instant donné, le besoin en fonds de roulement apparaît comme l’addition du besoin de financement d’exploitation et du besoin hors exploitation.

BFR = BFE + BFHE

Le besoin de financement hors exploitation (BFHE)

Le BFHE est un solde d’éléments disparates situés dans le bas du bilan fonctionnel. Cette impression de fourre-tout vient de sa définition négative : il recouvre les postes de l’actif et du passif circulants qui n’ont pas été pris en compte dans le BFE.

Cela correspond aux emplois suivants :

  • acomptes versés au titre de l’impôt sur les bénéfices ;
  • créances sur cessions d’immobilisations ;
  • charges constatées d’avance (si elles sont hors exploitation, par exemple charges financières).

Les ressources concernées au passif sont les suivantes :

  •  impôt dû sur les bénéfices ;
  • dividendes à payer ;
  • dettes envers les fournisseurs d’immobilisations ;
  • produits constatés d’avance (s’ils relèvent des éléments hors exploitation).

L’estimation bilantielle du BFHE est immédiate. Elle s’effectue par simple cumul algébrique. Si l’on prend comme référence une autre date que celle d’arrêté du bilan, certaines composantes du BFHE peuvent disparaître : les impôts ou les dividendes  ont pu être payés.

Le BFHE est, lui aussi, de nature fondamentalement fluctuante au cours de l’exercice, sans pour autant que son évolution puisse être expliquée par le cycle d’exploitation.

Le signe du BFHE est soit positif, soit négatif, auquel cas il s’agira d’une ressource de financement.

Le BFR ressort, à une date donnée, comme le cumul du BFE et du BFHE. A priori, étant donnée l’imprécision sur les signes du BFE et du BFHE, le signe du BFR est soit positif, soit négatif.

Dans la pratique, l’élément le plus important et qui fluctue le plus est le BFE. C’est la raison pour laquelle l’analyse financière privilégie souvent ce terme.

Plus de cours et exercices :

  • Cours résumé de gestion de trésorerie en pdf
  • les états financiers consolidés (normes IAS/IFRS)
  • Le plan de financement (cours en pdf)
  • 18 exercices corrigés sur Les techniques de choix d’investissement
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